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Ceux qui font Cosens – Nabil

Oct 24, 2022 | Blog | 0 commentaires

« Oh capitaine, mon capitaine ! »

Il a pas mal navigué Nabil !

De sa Tunisie natale au Canada, de New-York à Lille, en faisant un retour à Tunis , il aura effectivement pas mal navigué avant de venir poser ses valises à Marseille.

«Mon père a travaillé dans la Marine Marchande, on a beaucoup bougé et pour mes 19 ans j’ai dû choisir un pays pour faire mes études »

Pour lui, la France est le choix qui s’impose, il insiste d’ailleurs « c’était pour moi le meilleur choix !».

En parallèle, il étudie alors le management, les ressources humaines et la littérature Française. Très vite il intègre un cabinet conseil bruxellois, puis se fait chasser par le groupe Carrefour pour ouvrir le premier Carrefour de Tunisie et du Maghreb.

Mission accomplie, il revient alors en France et ouvre son propre cabinet conseil dans le Nord de la France qu’il développe pendant 10 ans.

L’année 2013 marque un tournant, et un changement de vie l’amène à Marseille avec ses deux fils.

Il faut tout reprendre, tout redémarrer. Nabil reprend le chemin du travail, choisit un incubateur pour ancrer son projet (en l’occurrence Cosens) et fait ce qu’il sait faire le mieux : saisir les opportunités !

Il repart alors en mission pour L’ONU à Djibouti, au Caire ou à Genève, devient formateur pour ESCCOM à Nice et Marseille et continue à suivre ses groupes d’étudiants de Kedge Business School en tant qu’expert en entreprise (bénévole).

2017 sera l’année d’un nouveau challenge avec le lancement d’une ONG , Talents Tunisiens Unis ( TTU) dont il est le cofondateur et l’ambassadeur pour l’Europe.

Quand on lui demande à quoi il carbure, il répond spontanément « j’aime faire aboutir les projets des autres ».

Nous, depuis qu’on connait Nabil on ne doute pas que son projet sera fait de succès.

Il insiste une dernière fois pour que son proverbe favori clôture nos échanges : “They tried to bury us. They didn’t know we were seeds.”

Capitaine Nabil est de nouveau sur le pont, normal nous direz-vous, il tient le bon cap(e) !